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Covid-19 : le gouvernement recommande de nouveau le port du masque

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Masques Covid
Le masque fait son retour dans les transports en commun. La Première ministre, Elisabeth Borne, a lancé mardi 29 novembre un appel solennel face à la reprise forte de l’épidémie de Covid-19.

Dans le métro à Lyon (Rhône), même à l’heure de pointe, peu d’usagers voyagent avec un masque. Son port n’est pas obligatoire, mais recommandé. « Toute seule dans les transports en commun, je ne vois pas le but d’utiliser le masque », commente une femme. Les Français font preuve d’un certain relâchement, malgré la recrudescence des cas de Covid-19.

40 000 contaminations au Covid-19 enregistrées chaque jour

Le gouvernement a lancé un appel solennel à porter le masque notamment dans les transports, mardi 29 novembre, pour protéger les personnes les plus fragiles. Aux Halles de Lyon, très fréquentées à l’approche des fêtes de Noël, nombreux sont les clients qui redoublent de vigilance. « Dès qu’il y a la foule du samedi, on est masqué« , confie une femme. Le gouvernement recommande le respect des gestes barrières et le port du masque dans les lieux de promiscuité. 40 000 contaminations au Covid-19 sont enregistrées chaque jour depuis une semaine en France.

Sources :

Covid-19 : le gouvernement recommande de nouveau le port du masque (francetvinfo.fr)

Covid-19 : alors que l’épidémie «repart», Borne recommande le port du masque dans les transports (lefigaro.fr)

Période actuelle sur le front médical compliquée

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Purificateur d'air Ecopref'air

Bonjour à toutes et à tous,

La période actuelle sur le front médical est compliquée : grippe, bronchiolite, covid et gastro mettent la pression sur les hôpitaux et le système de santé en général ainsi que sur les entreprises, le secteur éducatif et les maisons de retraite (maladie, décès, absentéisme, présentéisme…).

La Qualité d’Air Intérieur est plus que jamais LE sujet d’actualité… Maintenant que le diagnostic est posé, quelle réponse apportée ?

Les solutions ne sont pas légions, encore moins avec l’arrivée du froid qui s’installe sur tout le territoire… fini le « Bah, on ouvre les fenêtres ! ».

Dès lors, l’équipement en purificateur d’air est une solution simple, rapide et efficace si on choisit les bons modèles.

  • Grâce à leurs filtres HEPA H13, les purificateurs Fellowes Aeramax sont certifiés pour l’élimination de la covid-19 (quels que soient les variants), les coronavirus, la grippe H1N1, les norovirus (gastroentérite)…

 

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URGENCE – Purifier l’air consommé, c’est protéger votre santé

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Qualité de l'air établissements scolaires

Environ douze millions d’élèves ont repris le chemin de l’école. Une nouvelle rentrée scolaire dans un contexte de crise sanitaire, bien que les précautions manquent cette fois à l’appel. À peine 5% des communes ont équipé leurs écoles de purificateurs d’air ou effectué le contrôle obligatoire du CO2, formaldéhyde et benzène, sous peine d’une amende de 1500€.

Les parents n’ont eu qu’à vérifier le cartable mais pas les masques. Le protocole sanitaire dans les écoles est aujourd’hui à un niveau socle : tous les cours sont en présentiel et il n’y a aucune restriction, même pour les cours de sport. Avec les élèves réunis dans des salles de classe parfois exiguës, les épidémiologistes craignent une reprise épidémique. Même si la majorité des indicateurs de l’épidémie de Covid-19 sont en baisse, la France compte tout de même environ 18 000 nouveaux cas par jour. Il ne faut pas oublier que nous respirons 12 000 à 15 000 litres d’air par jour, inutile de vous dire que dans une pièce mal ventilée et non purifiée, entourée de produits polluants, l’état de santé peut très vite se dégrader.

Quant au purificateur d’air, à peine 5% ont franchi le pas. Une aide financière de 50 euros pour du matériel qui se chiffre à plusieurs centaines d’euros demeure insuffisante, regrette Guislaine David, présidente du SNUipp-FSU : « l’Etat et les collectivités se renvoient la balle. Dans certains cas, le réfectoire va être équipé mais pas les salles de classe ». Autre problème selon l’enseignante : les fenêtres qui ne s’ouvrent pas dans certaines écoles.

Le Royaume-Uni veut généraliser les purificateurs dans les écoles d’ici décembre

Les médecins préviennent que les aérosols sont les principaux vecteurs des virus émergents. La qualité de l’air va donc être l’enjeu majeur des prochaines années. Gilbert Deray, professeur émérite de l’Université Paris-VI, compare cet enjeu à la qualité de l’eau au 18ème siècle. « Il faut envisager de créer de l’air « potable » en quelque sorte. Que ce soit dans les salles de classe ou bureaux, l’air doit être considéré comme un élément à purifier », défend-il. Certains pays l’ont bien compris. Depuis le début de la pandémie, l’Allemagne a investi 700 millions d’euros pour améliorer la qualité de l’air dans ses lieux publics. Le Royaume-Uni s’est donné pour ambition de généraliser les purificateurs dans toutes les écoles d’ici la fin de l’année. La France, elle, fait toujours figure de mauvais élève.

Rémi Pfister

 

Quizz « La Pollution Intérieure »

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Quizz qualité de l'air

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Les risques liés à la pollution de l’air durant la grossesse

Bébé femme enceinte

Les femmes enceintes sont d’autant plus vulnérables et sensibles à la pollution de l’air. En effet, une mauvaise qualité de l’air pourrait engendrer des complications pour le futur bébé.

Des études ont prouvé que les particules fines qui pénètrent dans le système respiratoire maternel pourraient être la cause d’un ralentissement de la croissance du fœtus, de son développement ainsi que des futures facultés de l’enfant. De même pour le monoxyde de carbone qui limite la quantité d’oxygène de la mère et de l’embryon, qui peut influencer le poids ainsi que la taille de naissance du bébé, ou être un facteur de naissances prématurées.

Selon l’OMS, si la qualité de l’air était meilleure, 22% des cas de bébé poids plume nés à terme pourraient être évités, soit le même effet que si la totalité des femmes enceintes arrêtaient de fumer durant leur grossesse.

Les fausses couches ainsi que le développement d’allergies, d’asthme ou encore  d’autisme peuvent également être liées à une mauvaise qualité de l’air. Il est donc nécessaire qu’une femme enceinte réduise au maximum son exposition à la pollution présente dans l’environnement.

Afin de limiter ces risques et de se protéger au mieux, voici quelques conseils à appliquer :

  • Préserver sa santé. C’est un travail de tous les jours, qui passe par exemple par un temps de sommeil suffisant, car c’est pendant que nous dormons que la libération d’hormones de croissance est la plus intense. Cela passe aussi par le renforcement du système immunitaire, en adoptant une alimentation saine et équilibrée : vitamines, antioxydants, protéines,… variez et équilibrez les plaisirs, pour votre bien-être et celui de votre bébé !
  • En hiver, ne pas abuser du chauffage, en particulier l’usage des poêles à bois, rejetant beaucoup de monoxyde de carbone. Cela augmente le risque de fausses couches.
  • Eviter de pratiquer une activité physique à proximité des axes routiers et des grandes agglomérations.
  • Préférez l’utilisation de produits d’entretiens naturels plutôt que des produits ménagers classiques, et réduisez leur usage. Portez un masque lors de leur utilisation.
  • Veillez à aérer votre intérieur au moins 20 minutes par jour, pour un renouvellement quotidien de l’air. N’oubliez pas que contrairement aux idées reçues, l’air intérieur est jusqu’à 8 fois plus pollué que l’air extérieur !

En complément, l’une des meilleures solutions pour se préserver de la pollution quand on habite en ville reste l’utilisation d’un purificateur d’air, qui assainit et purifie l’air.

Le mot de la fin : Vivons d’amour et d’air pur ! Alors profitez bien de votre grossesse et félicitation à toutes les futures mamans !

N’hésitez pas à partager en commentaire vos recommandations et astuces pour réduire l’exposition des femmes enceintes à la pollution de l’air !

Sources:
http://www.maternea.fr/enceinte-attention-a-lair-que-vous-respirez/
http://www.guide-maman-bebe.com/ma-grossesse/les-dangers-de-la-pollution-pour-la-femme-enceinte

 

Des enfants qui naissent « pré-pollués »

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Bébé

Gynécologues et obstétriciens appellent, pour la première fois, les pouvoirs publics à limiter l’exposition aux substances chimiques.

Les substances chimiques auxquelles les populations sont quotidiennement exposées ont des effets sur la santé de plus en plus manifestes. C’est le sens de l’alerte publiée jeudi 1er octobre dans l’International Journal of Gynecology and Obstetrics par la Fédération internationale de gynécologie et d’obstétrique (FIGO). Elle met en avant la responsabilité de certains polluants de l’environnement dans les troubles de la fertilité et souligne l’urgence d’agir pour réduire l’exposition aux pesticides, aux polluants atmosphériques, aux plastiques alimentaires (bisphénol A, phtalates…), aux solvants, etc.

C’est la première fois qu’une organisation regroupant des spécialistes de santé reproductive s’exprime sur les effets délétères de ces polluants, présents dans la chaîne alimentaire et dans l’environnement professionnel ou domestique. Un appel soutenu par des ONG dont Women in Europe for a Common Future (WECF) et Health & Environment Alliance (Heal).

La prise de position de la FIGO — qui regroupe 125 sociétés nationales de gynécologie et d’obstétrique — rejoint celle, publiée deux jours plus tôt, de l’Endocrine Society. Pour cette société savante, qui rassemble 18 000 chercheurs et cliniciens spécialisés dans l’étude du système hormonal, l’exposition aux polluants de l’environnement est aussi en cause dans plusieurs maladies émergentes : diabète de type 2, obésité, cancers hormono-dépendants (sein, prostate, thyroïde) et troubles neuro-comportementaux (troubles de l’attention, hyperactivité, etc.).

Constat préoccupant

Après la publication, en 2012, du rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), ces deux nouvelles publications creusent un peu plus le fossé qui sépare l’état des connaissances et celui de la réglementation. Celle-ci ne reconnaît toujours pas l’existence de certaines substances – dites « perturbateurs endocriniens » – capables d’interférer avec le système hormonal et d’agir à des niveaux d’exposition très faibles, inférieurs aux seuils réglementaires. « Près de 800 substances chimiques environnementales sont connues ou suspectées d’interférer avec les récepteurs hormonaux, la synthèse ou la conversion des hormones », soulignait déjà, en 2012, le rapport de l’OMS et du PNUE.

« L’exposition à des produits chimiques toxiques au cours de la grossesse ou l’allaitement est ubiquitaire », note la FIGO, qui s’inquiète de ce qu’« aux Etats-Unis, une femme enceinte serait en moyenne contaminée par au moins 43 substances chimiques différentes ».

Les effets de ces expositions in utero ou sur les nourrissons ont aussi des répercussions sur la fertilité ultérieure des individus. En France, environ 15 % des couples en âge de procréer consultent pour infertilité, selon un rapport récent de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et de l’Agence de la biomédecine sur les troubles de la fertilité. Et le nombre de couples ayant recours aux techniques de procréation médicalement assistée ne cesse de croître, « très probablement en raison de modifications environnementales, notamment l’exposition à certains toxiques comme le tabac et/ou à certains perturbateurs endocriniens ».

Dans les consultations, le constat est préoccupant. « Au cours de ces dernières années, nous avons vu une recrudescence du syndrome des ovaires micropolykystiques, cause importante de l’infertilité, de l’endométriose, qui touche des femmes de plus en plus jeunes, et la qualité du sperme s’est effondrée », souligne Richard Benhamou, gynécologue obstétricien, spécialisé dans l’infertilité, installé depuis 1985. Certes, le tabac et l’alcool sont très délétères pour la femme enceinte et pour la fertilité, mais « le rôle de l’environnement invisible est capital », avertit le docteur Benhamou.

Hausse des pathologies

Le rapport de l’Endocrine Society est le deuxième du genre. Dès 2009, la société savante avait rassemblé les éléments disponibles dans la littérature scientifique et fait état de ses inquiétudes. Cette nouvelle édition renforce le constat précédent. « En particulier, depuis 2009, les éléments de preuve du lien entre exposition aux perturbateurs endocriniens et troubles du métabolisme, comme l’obésité et le diabète, se sont accumulés, alerte la biologiste Ana Soto (Tufts University à Boston, Ecole normale supérieure), co-auteure de la précédente version du rapport. Et il faut noter que rien de ce qui était avancé en 2009 n’a dû être retiré ou revu à la baisse. Tout ce que nous suspections à l’époque a été confirmé par les travaux les plus récents. »

La part prise par l’exposition aux substances chimiques toxiques dans l’augmentation d’incidence de certains troubles ou maladies – obésité, cancer du sein, de la prostate, etc. – ne peut être précisément quantifiée. Mais la société savante rappelle que ces pathologies, en lien avec le dérèglement du système hormonal, sont toutes en hausse inquiétante. Aux Etats-Unis, 35 % de la population est obèse et la moitié est diabétique ou prédiabétique.

Hasard du calendrier, Pesticide Action Network (PAN Europe), une ONG sise à Bruxelles, rappelait, à la fin de septembre, qu’une dizaine de pesticides catégorisés comme perturbateurs endocriniens par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) étaient actuellement examinés par la Commission européenne afin d’être autorisés ou ré-autorisés sur le marché européen. A l’heure actuelle, il n’existe pas de définition réglementaire stricte de ces substances : l’exécutif européen devait au plus tard établir une telle définition en décembre 2013, mais a cédé sous les pressions de l’industrie et a repoussé sine die la mesure.

 

La pollution intérieure

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Même à l’intérieur de nos maisons, nous respirons un air pollué…

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Pollution de l'air

Si vous pensiez qu’une fois rentré chez vous, à l’abri des particules fines, de l’ozone et du dioxyde de carbone, vous pouviez respirer, c’est raté. L’air intérieur est lui aussi pollué par de multiples substances aux sources diverses : poussière, bougies, moquettes, peintures… L’Observatoire de la qualité de l’air intérieur (OQAI) publie ce jeudi une enquête sur les composés organiques semi-volatils qui révèle qu’ils sont « omniprésents » dans nos logements. 20 Minutes fait le point sur ces colocataires nocifs.

Quelles substances polluent l’air intérieur ?

Ce sont essentiellement les composés organiques semi-volatils (ou COV) qui sont issus de quasiment tous les objets et les produits à base de plastique ou de composés chimiques. Ils sont ainsi émis par les revêtements de sol, les ordinateurs, les panneaux de bois, les colles, les meubles, les textiles, les peintures mais aussi par les produits d’entretien (lessives, détergents…), les insecticides utilisés pour les plantes ou pour les animaux de compagnie (anti-puces par exemple) et également les résidus de combustion de tabac, d’encens, de bougie…

Regroupées sous le nom de COV, il s’agit toutefois de substances très diverses : le formaldéhyde, présent dans les peintures, le benzène, l’acétaldéhyde, le toluène, l’éthylbenzène… « Certains de ces composés organiques semi-volatils, notamment les phtalates (plastiques souples) et les hydrocarbures aromatiques polycycliques (résidus de combustion), sont détectés dans quasiment tous les logements, à la fois dans l’air et dans les poussières », précise l’étude de l’OQAI.

Quels en sont les dangers pour la santé ?

Il n’y a pas encore d’étude complète sur les effets des COV sur la santé. Néanmoins, ils sont suspectés de nuire au système nerveux, immunitaire et hormonal. Le benzène est le seul composé classé cancérigène certain pour l’homme par l’Union européenne. Le formaldéhyde est un gaz irritant pour le nez et les voies respiratoires qui est impliqué dans l’apparition de cancers du nasopharynx et qui pourrait également entraîner l’apparition de leucémies.

Comment s’en protéger ?

La règle d’or est d’aérer son logement au moins 10 minutes par jour, même en hiver, rappelle le guide publié par l’Ademe et l’OQAI. Il faut aussi bien sûr éviter de fumer à l’intérieur. Les appareils de chauffage et de ventilation doivent être régulièrement entretenus pour éviter les concentrations de monoxyde de carbone dans les logements. Enfin, quand on fait des travaux, que l’on peint, que l’on bricole ou que l’on fait le ménage, il faut bien aérer et penser à bien reboucher les pots et bouteilles de produits chimiques. Enfin, les bougies, l’encens et les parfums d’intérieur sont de faux assainisseurs d’air qu’il vaut mieux éviter, conseille l’OQAI.

Les femmes enceintes et les parents d’enfants en bas âge doivent être particulièrement vigilants : pendant la grossesse ou avec un nourrisson à la maison, l’OQAI conseille d’utiliser des produits naturels pour l’entretien de la maison comme le bicarbonate de soude, le vinaigre blanc, le savon noir et d’éviter de faire des travaux ou de meubler la chambre de bébé dans les deux mois précédant la naissance.

Les bons gestes permettant d’améliorer la QAI

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Aération air pollué

Ci-dessous, retrouvez certains de ces bons gestes, par thématique, permettant d’améliorer la qualité de votre air intérieur.

Tabagisme

Le tabagisme est à éviter à tout prix :
évitez de fumer à l’intérieur de votre logement, surtout en présence d’enfants, de personnes souffrant de difficultés respiratoires ou encore de femmes enceintes.

Si une personne fume en votre présence, pensez à aérer la pièce ou à mettre votre ventilation en marche forcée.

Humidité et moisissures

La solution la plus efficace et la moins coûteuse reste l’aération. Pensez donc à aérer et ventiler pour évacuer l’humidité de votre logement, notamment lorsque votre linge sèche, vous préparez les repas ou prenez votre douche.

Si des moisissures apparaissent, nettoyez les tâches avec de l’eau savonneuse, laissez sécher puis désinfectez avec une solution de javel diluée au 1/10ème (1 dose de javel et 9 doses d’eau).

Évitez de sécher le linge dans les pièces de vie de votre logement : utilisez en priorité la salle de bain. Par exemple, installez un étendoir au-dessus de la zone douche pour ne pas perdre trop de place.

Si vous utilisez un sèche-linge, vérifiez que l’air de l’appareil est évacué vers l’extérieur et pensez à vider ou nettoyer le réservoir d’eau en fonction de votre système.

En cas de fuite ou de dégâts des eaux, veillez à assécher la pièce et à réparer le problème le plus rapidement possible afin d’éviter la croissance de moisissures.

Aération et ventilation

Ayez comme réflexe : aération et ventilation dès que vous cuisinez, bricolez, achetez de nouveaux meubles, séchez du linge, etc.

Pensez à aérer tous les jours, environ 10 minutes.

Évitez d’arrêter le fonctionnement du système de ventilation mécanique contrôlée.

Ne cherchez pas à obturer les bouches de ventilation, à les cacher derrière un meuble ou un revêtement, et veillez à les maintenir propres.

Vérifiez le détalonnage sous les portes de votre logement. Celui-ci doit être de 2 cm pour la porte de la cuisine et 1 cm pour les autres portes.

Veillez à effectuer l’entretien régulier du système de ventilation : nettoyez les bouches d’insufflation 1 fois par an et 3 fois par an pour les bouches au lave-vaisselle, ou à l’évier avec de l’eau savonneuse.

Chauffage et appareils de combustion

Pour éviter les émissions de monoxyde de carbone, confiez l’installation des systèmes (chaudières) à des professionnels qualifiés et faites les vérifier régulièrement.

Limitez autant que possible l’utilisation de radiateurs d’appoint fonctionnant au pétrole, butane ou propane, notamment dans les pièces non ventilées.

Construction, bricolage

Privilégiez la pratique des activités de bricolage dans le garage et veillez à maintenir fermée la porte de communication avec le logement afin d’éviter le transfert des émissions des produits de construction, des produits phytosanitaires, des gaz d’échappement des voitures, etc. vers l’intérieur du logement.

Pour le choix des produits de construction (peintures, colles, vernis), privilégiez les produits étiquetés A+ concernant les émissions en COV. L’utilisation de labels environnementaux est également une solution efficace.

Veillez à stocker les produits de construction à l’extérieur du logement et à refermer les contenants après usage pour limiter les émissions des produits.

Soyez vigilants aux étiquettes et consignes de dosages et de sécurité.

Après l’achat de mobilier neuf, laissez-le désorber à l’extérieur du logement si possible, sinon pensez à augmenter les débits de ventilation (marche forcée).

Entretien, Ménage

Utilisez de préférence des produits naturels, respectueux de l’environnement, de votre santé et plus économiques (vinaigre blanc, bicarbonate de soude) ou des produits écologiques labellisés (Ecocert ou Ecolabel européen).

Achetez des produits multi-usages plutôt que des produits destinés à un seul usage.

Respectez les modes d’emploi (pas de mélange de produits) et les doses préconisées sur la notice.

Évitez l’utilisation d’encens, parfums d’intérieur qui diffusent des substances chimiques nocives dans votre logement.

Quelques produits naturels et leur vertus

produit vertus
bicarbonate de soude dégraissant, désodorisant
savon noir nettoyant multi-usages
savon d’alep antiseptique, désinfectant et apaisant
vinaigre blanc désinfectant, détartrant, dégraissant, détachant
huile essentielle de thym antibactérien, antimicrobien

POPULAIRE

 

 

 

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